La pratique de Clarence Egger s’anime par la peinture et l’installation in situ, autour des thèmes du corps et de l’espace abandonné. Les notions d’illégalité et de territoire sont au centre de son travail. La transformation de lieux oubliés, laissés comme déchets et leur réutilisation à de nouvelles fins sont des questionnements qu’il aborde actuellement. Le collectif fait aussi partie intégrante de sa pratique, en créant des espaces qui sont dédiés au partage et amenant la collaboration.